La récente publication en Instastory de Marilou, fondatrice de Trois fois par jour, met en lumière un phénomène inquiétant : la banalisation des insultes en ligne.
Après avoir été traitée de « connasse à grosses babines », elle a répondu avec calme et recul, affirmant qu’elle ne cherchait ni pitié ni compassion, mais soulignant tout de même la fréquence des attaques qu’elle reçoit lorsqu’elle partage du contenu culinaire.
Ce qui frappe particulièrement dans son témoignage, c’est son étonnement face aux profils des auteurs de ces insultes : des personnes qui, à première vue, n’ont rien des « trolls » typiques des réseaux sociaux. Des mamies, des papas, des frères… Autant de figures qui, dans la vie réelle, ne laisseraient probablement pas échapper de telles paroles en face-à-face.
Sa suggestion d’en faire un sujet de discussion familiale est judicieuse. Pourquoi certains se sentent-ils libres d’être blessants derrière un écran ? Où s’arrête la critique et où commence le manque de respect ? Comment éduquer les jeunes et les moins jeunes à la civilité numérique ?
Ce cas rappelle que la politesse et l’empathie doivent s’appliquer autant en ligne que dans la vraie vie. (via Conneries QC)
Marilou réplique sans ménager ses mots à un commentaire déplacé d’une internaute
La récente publication en Instastory de Marilou, fondatrice de Trois fois par jour, met en lumière un phénomène inquiétant : la banalisation des insultes en ligne.
Après avoir été traitée de « connasse à grosses babines », elle a répondu avec calme et recul, affirmant qu’elle ne cherchait ni pitié ni compassion, mais soulignant tout de même la fréquence des attaques qu’elle reçoit lorsqu’elle partage du contenu culinaire.
Ce qui frappe particulièrement dans son témoignage, c’est son étonnement face aux profils des auteurs de ces insultes : des personnes qui, à première vue, n’ont rien des « trolls » typiques des réseaux sociaux. Des mamies, des papas, des frères… Autant de figures qui, dans la vie réelle, ne laisseraient probablement pas échapper de telles paroles en face-à-face.
Sa suggestion d’en faire un sujet de discussion familiale est judicieuse. Pourquoi certains se sentent-ils libres d’être blessants derrière un écran ? Où s’arrête la critique et où commence le manque de respect ? Comment éduquer les jeunes et les moins jeunes à la civilité numérique ?
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