Dans une vidéo TikTok spontanée, Mélissa partage une réflexion de plus en plus fréquente chez plusieurs jeunes adultes au Québec : comment, en 2025, certaines personnes peuvent encore s’offrir des maisons neuves à 800 000 $ ou 900 000 $? En marchant dans son quartier, entourée de chantiers résidentiels, elle dit ne pas comprendre comment ces projets peuvent encore fleurir alors que le coût de la vie explose. Elle ne parle pas de villas extravagantes, mais simplement de maisons « belles, normales », autrefois accessibles à la classe moyenne.
Son questionnement est sincère et teinté d’une certaine frustration : « On dirait que les mathématiques dans ma tête, ça ne marche pas. » Mélissa rappelle qu’il fut un temps où un salaire moyen permettait d’acheter une maison à 400 000 $, mais aujourd’hui, même une maison dite « de base » semble réservée à ceux qui gagnent des revenus très élevés.
Sa publication soulève une réalité troublante : la déconnexion croissante entre les salaires et les prix de l’immobilier. En exprimant sa curiosité et ses doutes, elle donne voix à toute une génération qui peine à comprendre comment accéder à une stabilité autrefois considérée normale.
@melissapaiem Je parle dans un concept du coût de la vie de nos jours. Des maisons comme ça, avant ça valait 400-500k et on pouvait avoir un salaire dans la moyenne et s’offrir ça. Maintenant, on dirait que pouvoir avoir une maison peut-être «de base», il faut faire un excellent excellent salaire et pourtant, j’en vois encore tellement en construction. Je suis curieuse 😂. Merci de faire partie de mes réflexions durant mes marches.🚶🏼♀️ #inflation #house #job #construction ♬ son original – Mélissa