Dans sa vidéo TikTok, Audrey se livre avec une rare transparence sur un malaise que vivent plusieurs créateurs de contenu, mais qu’on ose peu nommer. Elle parle de cette impression d’être coincée dans une « flop era », malgré des statistiques positives, des vidéos virales et une communauté bien présente. Tout semble bien aller sur le plan créatif, mais financièrement, rien ne décolle.
Audrey observe que ce sont souvent les mêmes visages qui obtiennent des contrats avec de grandes marques, tandis que d’autres, comme elle, peinent à décrocher des collaborations payantes, même après des années d’efforts. Sans jalousie ni jugement, elle se questionne sincèrement : est-ce qu’elle fait quelque chose de travers ?
Est-ce que les marques préfèrent désormais des profils plus récents ? Son discours est d’autant plus touchant qu’il s’inscrit dans un contexte personnel fragile : un retour de congé de maternité, un salaire partiel et l’espoir que les réseaux sociaux deviennent enfin une source de revenus stable. Audrey rappelle aussi qu’elle ne reste pas les bras croisés : elle fait du montage pour des clients et cumule d’autres contrats. Son message met en lumière une réalité souvent invisibilisée : la création de contenu peut fonctionner, sans pour autant rapporter. (via Conneries QC)
@audrey_qcJe sais pas si j’assume entièrement hahaha *might delete later* mais bon coucou 🥸♬ son original – Audrey QC 👋🏼⚜️
