La serveuse @fitnesswithalison a vécu une soirée mémorable, mais pour de mauvaises raisons. Affectée à un groupe de 30 personnes célébrant un enterrement de vie de jeune fille dans un nouveau restaurant sans pourboire automatique, elle s’est surpassée. Offrant un service irréprochable pendant trois heures, elle a même gâté la future mariée avec des amuse-bouches et des desserts. Les convives, ravies, ont profité de cocktails et de sushis, portant l’addition totale à environ 2500 $.
La déception a frappé au moment de régler. Malgré son dévouement, la serveuse n’a reçu qu’un misérable pourboire de 10 $. Cette somme, dérisoire face à la facture astronomique et au service exceptionnel, est d’autant plus choquante que les professionnels du service aux États-Unis dépendent des pourboires pour compléter un salaire de base souvent sous les 3 $ de l’heure. Non seulement elle n’a pratiquement rien gagné, mais elle a dû partager ce maigre billet avec le personnel de cuisine et du bar.
Cette expérience amère rappelle brutalement l’importance cruciale du pourboire dans la culture nord-américaine. Un pourboire standard de 15 à 20 % n’est pas un luxe, mais une nécessité financière pour ces travailleurs. L’histoire d’Alison met en lumière le manque de reconnaissance et les difficultés auxquelles sont confrontés ceux qui œuvrent pour des tablées festives, où un service parfait ne garantit pas toujours une rétribution juste et vitale. (via Conneries QC)
@fitnesswithalison the wine was pretty good though. #server #nashville #ilovemyjob ♬ original sound – ALISON JOHNSON | FITNESS