Sur Facebook, les hommes d’affaires Olivier Primeau et Luc Poirier ont partagé une même photo de Montréal pour exprimer leur frustration face aux politiques urbaines, notamment concernant le vélo.
Olivier Primeau critique l’« obsession de la Ville de Montréal de tout compliquer », la qualifiant de « ridicule ». Bien qu’il soit lui-même cycliste, il estime que les récentes décisions de la ville ont rendu la pratique du vélo plus compliquée et dangereuse qu’elle ne l’était auparavant. Son propos met en lumière une perception d’excès de zèle dans l’aménagement urbain qui nuirait même à l’objectif initial de favoriser le vélo.
De son côté, Luc Poirier renchérit sur l’idée de complications en suggérant, sur un ton ironique, qu’il faudrait bientôt « exiger un permis de vélo ». Il ajoute que, « à voir la créativité de Montréal », l’examen pour ce permis « risque d’être difficile ». Son commentaire pointe du doigt la complexité et la nature perçue comme excessivement réglementaire des initiatives montréalaises.
Les deux publications reflètent un mécontentement partagé par ces figures publiques concernant la gestion de l’espace urbain et la réglementation des transports à Montréal.
