À la suite des récentes inondations, la mairesse Valérie Plante a souligné l’urgence d’adapter les infrastructures urbaines face aux changements climatiques. Selon elle, les chercheurs sont unanimes : dans les grandes villes confrontées à des précipitations de plus en plus intenses, rénover uniquement les canalisations ne suffit plus.
Il faut également intervenir en surface pour mieux absorber l’eau. C’est pourquoi son administration mise sur les infrastructures éponges des aménagements capables de retenir l’eau de pluie. Depuis son arrivée en poste, 11 parcs-éponge ont été déployés, permettant de capter l’équivalent de neuf piscines olympiques d’eau.
Et ce n’est qu’un début : 11 autres sont en chantier, tandis que 19 supplémentaires sont déjà budgétés pour les prochaines années. Ces initiatives visent à soulager le réseau de canalisation et à mieux protéger la ville contre les épisodes d’inondations extrêmes de plus en plus fréquents.
🚨 « Les changements climatiques sont là pour rester (…) et l’exemple d’hier dit tout », affirme la mairesse Valérie Plante. Selon elle, une grande partie des infrastructures montréalaises sont vieillissantes, voire très anciennes dans certains secteurs. « Il faut changer les… pic.twitter.com/EPDEzQvq3X
— Hadi Hassin (@hassinhadi) July 14, 2025