Lors d’un échange avec Pierre-Yves McSween, Luc Poirier a dévoilé les coulisses de sa participation au Salon de l’auto de Montréal. Quand McSween lui demande combien de jours il passe au salon, Poirier répond qu’il y est présent quatre jours.
Mais ce n’est pas un investissement rentable en termes financiers : « Ça me coûte plus cher que ce qu’ils me donnent », affirme-t-il, estimant ses dépenses entre 60 000 et 80 000 dollars par édition. Depuis trois ans, cela représente près de 240 000 $ sortis de sa poche. McSween souligne qu’avec cette somme, il aurait pu acheter un plex.
Poirier acquiesce, mais précise qu’il ne raisonne pas de cette façon. Pour lui, c’est une passion : montrer ses voitures au public. Contrairement aux collectionneurs traditionnels qui gardent jalousement leurs bolides à l’abri, Poirier choisit l’exposition, le partage, la visibilité. Il souligne que beaucoup de gens attendent de voir ces voitures rares, et il trouve une satisfaction personnelle à les rendre accessibles au public, au-delà de toute logique comptable. (via Conneries QC)
@cravecanadafr Autant de Ferrari au salon de l’auto, ça coûte combien ? 👀#LUCLEMILLIARDAIRE ♬ son original – Crave en Français
