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Olivier Primeau exprime un ras-le-bol concernant le prix des fraises du Québec

Dans une publication virale, Olivier Primeau exprime un ras-le-bol partagé par de nombreux Québécois. Avec une pointe d’ironie, il demande si quelqu’un trouve normal que le coût de la vie ait atteint de tels sommets. Son exemple marquant : un 2 litres de fraises à 17,50 $. Ce n’est plus une exception, c’est devenu une réalité quotidienne. Le panier d’épicerie, même en faisant attention, dépasse 150 $, et les loyers explosent, avec un simple 4 ½ à Montréal à 1800 $ par mois.

Primeau met aussi en lumière une réalité troublante : un couple gagnant 70 000 $ chacun — ce qui devrait représenter un confort financier est désormais classé comme « classe moyenne précaire ». L’inflation frappe fort, et même si on tente de la relativiser en disant qu’elle est mondiale, il souligne que « ici, c’est pire ».

Son message traduit un sentiment d’impuissance généralisée. Les gens sont à bout de souffle, à bout de patience, et sa publication agit comme un miroir d’une frustration collective croissante. Avec humour, mais sans détour, Olivier Primeau lance un cri du cœur qui résonne puissamment dans le Québec d’aujourd’hui.

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