Dans son article, Pierre-Yves McSween défend rationnellement l’utilisation du véhicule électrique, qu’il juge trop critiqué récemment dans les médias. Fort de deux ans d’expérience, il affirme ne plus voir d’intérêt à revenir à l’essence. Contrairement à une perception répandue, l’autonomie n’est pas un enjeu pour l’usager moyen, qui parcourt rarement plus de 100 km par jour. La recharge publique est marginale pour lui, puisque la recharge à domicile suffit largement à ses besoins.
Il reconnaît une baisse d’autonomie en hiver, mais celle-ci est gérable avec une conduite responsable. Les pneus représentent un coût plus élevé, en raison du poids des véhicules électriques, mais ce facteur peut être atténué par une conduite modérée. En revanche, l’absence de pneu de secours est un inconvénient réel, qui justifie selon lui un abonnement à l’assistance routière.
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McSween admet que les assurances sont plus coûteuses pour les véhicules électriques, mais souligne que cela découle aussi de la hausse générale du prix des véhicules neufs. L’installation d’une borne à domicile est essentielle pour profiter pleinement de l’électrification. Il invite à bien planifier cet aspect, surtout pour les copropriétaires ou locataires.
Fiscalement, des avantages existent, notamment pour ceux qui utilisent un véhicule électrique à des fins professionnelles ou via une société. Au final, les critiques actuelles sont exagérées selon lui : pour la majorité des Québécois, les véhicules électriques sont pratiques, confortables, et bien adaptés, malgré un coût initial élevé.
Pour consulter son article complet, on vous invite à visiter le site de Pierre-Yves McSween.
