Sophie Durocher et sa collègue ont récemment discuté à la radio d’une situation plutôt embarrassante impliquant une plaque d’immatriculation québécoise non personnalisée. Depuis 2018, les citoyens peuvent demander des plaques personnalisées, mais ce n’était pas le cas ici.
Un automobiliste a tout simplement reçu sa plaque par la poste, générée de façon aléatoire. Le résultat : une combinaison de lettres et de chiffres qui, mise ensemble, donne « ANL 80Y ». À l’oral, cela ressemble fortement à « anal boy », une expression anglophone à connotation sexuelle.
Bien que cette lecture soit involontaire, elle n’en demeure pas moins gênante pour le propriétaire du véhicule, surtout s’il voyage à l’extérieur du Québec. Aux États-Unis, par exemple, cette combinaison pourrait susciter des rires ou des réactions moqueuses. Le malaise vient aussi du fait que les plaques personnalisées existent ; cela peut donner l’impression que la personne a volontairement choisi ce message douteux.
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