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Olivier Primeau n’en revient pas qu’on paie 1 million pour un feu de circulation au Québec

Les propos d’Olivier Primeau sur le coût exorbitant d’un feu de circulation au Québec mettent en lumière un problème récurrent : la mauvaise gestion des fonds publics. Un million de dollars pour installer ou remplacer un simple feu de circulation dans une ville moyenne, c’est effectivement difficile à justifier, surtout quand on le compare à d’autres pays développés, où des systèmes plus modernes coûtent deux à trois fois moins.

Cette situation soulève des questions sur la bureaucratie excessive, les appels d’offres trop complexes, les firmes de génie-conseil surfacturées et l’absence de volonté d’optimiser les dépenses publiques. Primeau illustre son point avec une métaphore frappante : acheter une Honda Civic au prix d’une Lamborghini.

Ce gaspillage n’est pas sans conséquences. Il explique en partie l’état lamentable des routes, la détérioration des écoles, la surcharge des hôpitaux, et le fardeau fiscal qui ne cesse d’augmenter. Le problème n’est pas un manque de ressources, mais une culture de gestion où l’argent public semble infini parce qu’il ne vient pas directement des poches de ceux qui le dépensent. Cette critique soulève un débat fondamental sur l’efficacité et la transparence de l’administration publique au Québec.

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