Simon Olivier Fecteau exprime un point de vue nuancé sur la question de l’interdiction des téléphones à l’école, en réaction à la grève massive des étudiants prévue pour le 9 mai. Il commence par rappeler l’importance d’écouter les jeunes, tout en admettant qu’il comprend bien la tentation des téléphones.
Selon lui, cette question dépasse le cadre scolaire et s’étend à l’ensemble de la société. Il précise que, personnellement, il interdirait les cellulaires au travail, sauf lorsqu’ils sont directement liés aux tâches professionnelles. Fecteau fait aussi un clin d’œil à son propre vécu, en avouant avoir été longtemps accro à son téléphone.
Il semble suggérer que cette dépendance, qu’il a lui-même vécue, est un phénomène qui mérite réflexion. Pour lui, la question n’est pas tant d’interdire mais de comprendre les enjeux derrière cette addiction numérique, tout en cherchant à établir un équilibre dans l’utilisation de ces outils.
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