Marilou, fondatrice de Trois fois par jour, a une fois de plus démontré son intelligence et son humour face à la méchanceté gratuite sur les réseaux sociaux. Après avoir reçu un commentaire désobligeant sur son apparence – « connasse à grosse babines » – elle a choisi de répondre avec élégance et autodérision plutôt que de s’apitoyer.
Dans un premier temps, elle a mis en lumière un phénomène inquiétant : la banalisation des insultes en ligne, souvent proférées par des personnes qu’on n’imaginerait pas violentes – des parents, des grands-parents, des membres de notre entourage. Elle a même suggéré un sujet de discussion en famille autour de la table : la civilité. Une façon subtile de rappeler que le respect commence à la maison.
Puis, avec un humour mordant, elle a publié une image exagérément retouchée de son visage, accompagnée d’un message ironique. Plutôt que de se laisser atteindre, elle a pris le contrôle du récit, transformant une attaque mesquine en une occasion de rire et de réfléchir. Son approche est une belle leçon de résilience et un exemple inspirant pour tous ceux qui font face à la haine en ligne.
Marilou réplique une deuxième fois à un commentaire complètement déplacé
Marilou, fondatrice de Trois fois par jour, a une fois de plus démontré son intelligence et son humour face à la méchanceté gratuite sur les réseaux sociaux. Après avoir reçu un commentaire désobligeant sur son apparence – « connasse à grosse babines » – elle a choisi de répondre avec élégance et autodérision plutôt que de s’apitoyer.
Dans un premier temps, elle a mis en lumière un phénomène inquiétant : la banalisation des insultes en ligne, souvent proférées par des personnes qu’on n’imaginerait pas violentes – des parents, des grands-parents, des membres de notre entourage. Elle a même suggéré un sujet de discussion en famille autour de la table : la civilité. Une façon subtile de rappeler que le respect commence à la maison.
Puis, avec un humour mordant, elle a publié une image exagérément retouchée de son visage, accompagnée d’un message ironique. Plutôt que de se laisser atteindre, elle a pris le contrôle du récit, transformant une attaque mesquine en une occasion de rire et de réfléchir. Son approche est une belle leçon de résilience et un exemple inspirant pour tous ceux qui font face à la haine en ligne.
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